AGISSONS ENSEMBLES POUR DIRE
STOP
aux incivilités
AGIR!
Si comme de nombreuses personnes, vous êtes régulièrement incommodé par des bruits de crachats insistant au cœur de la Montée des Épies. Si vous désespérez de ne pas savoir comment agir afin d'éviter de vivre avec les fenêtres fermées et ce même le soir en période de grosse chaleur. Si comme certains, vous estimez que personne ne devrait subir cette ambiance anxiogène persistante et souhaitez simplement retrouver une vie normale. Alors cette page est faite pour vous.
EN SAVOIR +
QUE SE PASSE-T-IL DANS LA
MONTÉE DES ÉPIES?
Pourquoi ne pouvons plus dormir?
Vous êtes nombreux à vous être plaints et à avoir subi de très fréquentes nuisances sonores au sein la Montée des Épies dans le 5ème arrondissement de Lyon depuis mi-avril 2022. En effet dans la montée des Épies, on pouvait y entendre résonner toutes sortes de bruits étranges pouvant s’apparenter à d’énormes crachats, raclements de gorge ou autres déglutissements, lesquels étaient bien trop souvent incessants.Beaucoup de personnes ont dû se résigner à vivre péniblement avec l’omniprésence de ces sons étranges et n’ont eu aucun autre choix que de subir et d’en « apprécier » nuits et jours la répétition, laissés dans le désarroi le plus total.
Les périodes des printemps/étés 2022 et 2023 ont été particulièrement invivables surtout pour ceux qui résident ou résidaient au début de cette rue. Ces bruits de crachats, produits avec une extrême redondance (2 à 3 fois par minutes) nuits et jours et ce sur une longue période, ont fait régner une ambiance anxiogène omniprésente laquelle devenait insoutenable, surtout pendant les grosses chaleurs avec les fenêtres ouvertes la nuit tombée. Cette atmosphère a grandement altéré la qualité de vie de nombreuses personnes. Si vous vous sentez concernés cette page est faite pour vous.
TROUBLES ANORMAUX DU VOISINAGE
Un locataire n'a pas le droit d'imposer impunément à ses voisins
une gêne excédant les obligations ordinaires du voisinage
Conformément à l'article R.1336-5 du Code de la santé publique, les bruits de comportement, lorsqu'ils sont répétitifs, intensifs ou prolongés, peuvent constituer des troubles anormaux du voisinage. Les nuisances sonores signalées dans la Montée des Épies, caractérisées par leur fréquence et leur persistance, semblent répondre à ces critères. Il est impératif que les autorités compétentes évaluent la situation et prennent les mesures appropriées pour rétablir la tranquillité publique.
NUISANCES SONORES - TAPAGES NOCTURNES ET DIURNES
À propos du bruit dépassant les inconvénients normaux de voisinage
la loi et la jurisprudence sont fermes
Depuis la mi-avril 2022, une personne domiciliée dans un immeuble du début de la Montée des Épies, fait subir à tout le voisinage ses bruits de raclement de gorge, régurgitations, crachats. Ceux-ci ayant lieu, de manière systématique et récurrente jour et nuit surviennent parfois jusqu’à 2 ou 3 fois par minutes selon la période.
En droit français, le principe de tolérance aux nuisances est encadré par la théorie des troubles anormaux du voisinage. Lorsqu’un bruit excède par sa fréquence, son intensité ou sa durée les inconvénients normaux de la vie en collectivité, il devient juridiquement répréhensible. En vertu de l'article R.1336-5 du Code de la santé publique, aucun bruit ne doit, par sa répétition ou sa persistance, porter atteinte à la tranquillité du voisinage. Ce principe s’applique tant aux nuisances diurnes que nocturnes, sans exigence de mesure acoustique préalable. La jurisprudence constante (Cass. civ. 3e, 6 septembre 2018, n°17-19.762) confirme que même sans infraction pénale constituée, un trouble de voisinage peut fonder une action en responsabilité civile. Ainsi, un voisin victime de tapages réguliers – même en l’absence de tapage nocturne caractérisé au sens pénal – peut légitimement obtenir réparation. Il appartient dès lors aux occupants responsables, à leurs bailleurs, et le cas échéant au syndic de copropriété, de prendre toutes dispositions pour mettre fin au trouble sous peine d'engager leur responsabilité.
Quelques exemples
des nuisances sonores
que nous subissons depuis mi-avril 2022


Aussi la fenêtre de de cette personne reste toujours ouverte en grand, avec le téléviseur qui tourne plein volume toutes les nuits. La police est intervenue plusieurs fois. Lorsque celle-ci se rend sur place cette personne cesse les nuisances. Ces bruits portent atteinte à la tranquillité de toute la Montée des Épies.
Nul locataire n'est censé ignorer les règles de bon voisinage. Chacun est tenu d’user paisiblement de son logement. À défaut, le locataire peut se voir délivrer un congé par son propriétaire pour motif légitime et sérieux ou voir son bail résilié par le juge (articles 4 et 6-1 de la loi du 6 juillet 1989). Il est nécessaire de réunir un maximum de pièces.
Ces bruits de crachats, produits avec une extrême redondance (2 à 3 fois par minutes) nuits et jours et ce sur une longue période, ont fait régner une ambiance anxiogène omniprésente laquelle devenait insoutenable, surtout pendant les grosses chaleurs avec les fenêtres ouvertes la nuit tombée. Ce sont les périodes des printemps/étés 2022 et 2023 qui se sont montrées tout particulièrement invivables surtout pour ceux qui résident ou résidaient au début de cette rue.
Aussi la fenêtre de de cette personne reste toujours ouverte en grand, avec le téléviseur qui tourne plein volume toutes les nuits. La police est intervenue plusieurs fois. Lorsque celle-ci se rend sur place cette personne cesse les nuisances. Ces bruits portent atteinte à la tranquillité de toute la montée des Épies et cette atmosphère a grandement altéré la qualité de vie de nombreuses personnes.
DÉGRADATION DE LA VOIE PUBLIQUE
JETS DE DÉCHETS « SAUVAGES »
Dans quelles circonstances s’autorise-t-on à
troubler l’ordre d’un espace, à le salir?
Cette même personne jette régulièrement des seaux entiers de salive du haut de sa fenêtre dont le contenu de plusieurs litres coule jusqu’en bas de la voie publique jusqu'à atteindre la Saint-Georges. Laisser se produire ces agissements est absolument intolérable, surtout dans une zone classée comme patrimoine historique.
Nous tenons à rappeler qu'il est strictement interdit de jeter ou d'abandonner ses déchets sur la voie publique ou privée. Le jet de déchets dit "sauvages" est puni d'une amende. Tout jet de déchets (mégots de cigarette, restes d'aliments, seaux de salive, etc.) par les fenêtres est strictement interdit. Cet acte caractérise le délit de mise en danger délibéré d'autrui, lequel est puni d'emprisonnement et d'une amende.
Outre l’amende administrative prévue à l’art. L. 541-3 du code de l’environnement, l'auteur de dépôts irréguliers de déchets peuvent voir sa responsabilité pénale engagée dès lors que les faits constatés revêtent une qualification infractionnelle.
L’article L. 541-46 I, 4° du code de l’environnement punit d’un emprisonnement de deux ans et d’une amende de 75 000 € le fait d’« abandonner, déposer ou faire déposer, dans des conditions contraires aux dispositions du présent chapitre, des déchets ».
S’agissant de contraventions, la faute de l’auteur du dépôt illicite est présumée. Le contrevenant ne peut donc s’exonérer en démontrant qu’il a été prudent et diligent et qu’il n’avait pas a volonté de contrevenir à la réglementation environnementale en matière de déchets. Seule la démonstration d’un cas de force majeure – qui suppose la survenance d’un événement imprévisible, irrésistible et extérieur (art. 121-3 alinéa 5 du code pénal) est admise, quoique très rarement retenue par les juridictions, pour exonérer l’auteur de sa responsabilité.
Depuis 1998, cette rue fait partie d'une zone inscrite sur la liste du patrimoine mondial par l'UNESCO. Notre chère montée est donc officiellement reconnue et protégée comme faisant partie intégrante du patrimoine universel. Il en va de la responsabilité de chaque citoyen de faire de son mieux afin de préserver le charme typique d'une des rues les plus photographiées de Lyon. Le respect de vie en collectivité et la tranquillité des riverains sont une chose, la préservation de notre patrimoine en est une autre...
QUI COMMET CES INCIVILITÉS?
Une locataire identifiée, des responsabilités partagées
Les incivilités constatées de manière récurrente au 3 Montée des Épies sont attribuées à Mme Farida DOUAIR, locataire résidant au 3e étage. Les faits rapportés incluent des nuisances sonores graves, des jets de déchets, des invectives à l’encontre de plusieurs voisins, ainsi que des comportements pouvant relever du harcèlement. Si Mme DOUAIR est l’auteure directe de ces troubles, la jurisprudence reconnaît que la responsabilité ne s’arrête pas à l’individu auteur des faits. En effet, selon l'article 1240 du Code civil, tout fait fautif causant un dommage engage la responsabilité de son auteur, mais également, dans le cadre locatif, celle du bailleur, dès lors que celui-ci est informé et s’abstient d’agir. En l’espèce, la locataire est sous contrat avec la SCI S.M.A., représentée par Mme Maryse DALLON, et son comportement a été signalé à maintes reprises sans réponse satisfaisante, engageant ainsi une chaîne de responsabilités civiles et morales.
LA POLICE A ÉTÉ ALERTÉE
Des interventions régulières… sans suite judiciaire
Depuis mi-avril 2022, nous avons contacté les forces de l'ordre plus d'une dizaine de fois. À plusieurs reprises, différents équipages de police se sont rendu sur place afin de frapper à la porte de la personne qui produit ces bruits étranges et autres incivilité. Celle-ci n'a jamais dénier leur ouvrir sa porte, par contre cette personne interrompait instantanément les nuisances sonores durant les interventions
Le 8 août 2022,
Le 1er août 2023, ces agissements qualifiés de "troubles anormaux du voisinage" ont fait l'objet d'un dépôt de plainte à l'encontre de cette personne que nous ne nommerons pas, pour agressions sonores répétées sur une longue période, au commissariat du 1er arrondissement de Lyon.
Les forces de l’ordre ont été sollicitées à de nombreuses reprises par les résidents de la Montée des Épies depuis le début des troubles, notamment à partir du printemps 2022. Plusieurs appels au 17 ont donné lieu à des déplacements sur place, mais sans qu’une action pérenne ou dissuasive ne soit engagée. Dans certains cas, Mme DOUAIR a refusé d’ouvrir sa porte aux agents ou s’est même permise de les invectiver verbalement. Malgré ces éléments inquiétants, les procès-verbaux transmis au parquet ont abouti à des classements sans suite. Ce manque de suites judiciaires interroge, alors même que les faits cumulés – nuisances sonores, insultes, harcèlement, comportements menaçants – sont de nature à relever d’infractions réprimées par le Code pénal. En dépit des preuves réunies (témoignages, enregistrements audio, pétitions, constats), la réponse institutionnelle est restée limitée, contribuant ainsi à renforcer le sentiment d’impunité et à prolonger la situation de détresse des victimes.
QUE FONT LES RESPONSABLES?
Silences prolongés et responsabilités éludées
Le président du syndicat de copropriété de l’immeuble d'où provient les troubles
Le juillet 2022, au cours d’un échange téléphonique un locataire de l’immeuble a très lourdement tiré la sirène d’alarme des propriétaires a été alerté , celui-ci s'est retourné contre le plaignant en le traitant de fou. Ce dernier fait a fait l'objet.
Certains propriétaires membres du syndicat qui auparavant échangeaient volontiers au sujet des troubles constatés au sein de l'immeuble restent aujourd’hui étrangement dans un mutisme total. Pourtant le problème est toujours là.
Certains membres du syndic de copropriété étrangement silencieux
M. Jean-Claude DE CRESCENZO, président du syndicat de copropriété et propriétaire du logement occupé par la victime, a été informé à de multiples reprises de la situation de trouble grave causée par la locataire du dessus. Bien qu’il ait été en mesure d’agir en tant que représentant de la copropriété, notamment en sollicitant une résolution en assemblée générale ou en alertant formellement les autres membres du syndicat, aucune mesure efficace n’a été prise pour restaurer un cadre de vie normal. Ce manquement constitue une abstention fautive, d’autant plus grave qu’il détient une double responsabilité : celle de copropriétaire et de bailleur.
Le propriétaire du logement de la personne à l’origine des troubles
Mme Maryse DALLON, représentante de la SCI S.M.A., est la propriétaire du logement occupé par Mme Farida DOUAIR. Conformément à l’article 1240 du Code civil, sa responsabilité est engagée dès lors qu’elle a été informée des troubles anormaux du voisinage et qu’elle s’est abstenue d’y remédier. Malgré les signalements clairs, documentés et répétés, Mme DALLON n’a engagé aucune procédure sérieuse à l’encontre de sa locataire ni même manifesté une volonté réelle de mettre fin à la situation. Cette passivité est susceptible d’être interprétée juridiquement comme une forme de complicité passive ou, à tout le moins, de négligence grave.
- Le 17 janvier 2024, soit près de 2 ans après le début des nuisances, le propriétaire du logement d’où proviennent les nuisances a déclaré ne pas être au courant des troubles réguliers produit par son locataire. Cette déclaration a été faite à l'un des autres habitants, propriétaire et membre du syndicat de copropriété de l’immeuble, lequel se plaignait d’une gêne dans sa vie quotidienne.
Cette personne est visiblement gérante d’une entreprise d’immobilier immatriculée dans la Montée des Épies.
- Celui-ci
Les membres du syndicat de copropriété de l’immeuble
Les autres copropriétaires de l’immeuble, bien que parfois indirectement concernés par les nuisances, ont été informés de la situation, notamment lors d’échanges privés ou de réunions de copropriété. Pourtant, aucune décision collective n’a été actée pour faire respecter le règlement de copropriété ou exiger des mesures de la part de la SCI S.M.A. ou de M. DE CRESCENZO. Le défaut de mobilisation du syndicat, en dépit de la gravité des faits rapportés, interroge sur une éventuelle carence structurelle dans la gestion des conflits de voisinage, et contribue à l’installation durable d’un trouble anormal de jouissance pour plusieurs occupants.
NON-INTERVENTION POUR FAIRE CESSER
UN TROUBLE DE JOUISSANCE
Une faute contractuelle engageant la responsabilité pleine et entière du bailleur
En droit locatif, l’article 6, alinéa 1 de la loi du 6 juillet 1989 impose au bailleur l’obligation de garantir au locataire la jouissance paisible du logement. Lorsque ce dernier subit un trouble de jouissance – notamment en raison du comportement anormal d’un tiers ou d’un voisin – le bailleur ne peut se contenter de l’inaction. Il lui incombe, dès lors qu’il est informé, de prendre toute mesure utile : médiation, rappel au règlement, courrier de mise en demeure au fauteur de trouble, voire action judiciaire. En l’espèce, les bailleurs concernés, bien qu’informés de manière continue et documentée de la gravité des nuisances, se sont abstenus d’agir. Cette carence constitue une faute contractuelle au sens de la jurisprudence constante (CA Paris, 9 mars 2017 ; Cass. civ. 3e, 8 juillet 1998), et ouvre droit à indemnisation pour le locataire lésé, pouvant inclure une réduction de loyer, des dommages-intérêts et, en cas de dégradation de l’état de santé, une constitution de partie civile.
QUI SONT LES VICTIMES?
Locataires, propriétaires et copropriétaires : un préjudice collectif ignoré
Locataires dans la Montée des Épies
Les premiers touchés par ces troubles répétés sont naturellement les locataires. Nombreux sont ceux qui, malgré des démarches répétées, n’ont pu jouir paisiblement de leur logement, tel que garanti par l’article 6 de la loi du 6 juillet 1989. Insomnies, stress, sentiment d’abandon, déménagement contraint ou tentatives infructueuses de médiation : les conséquences sont lourdes, et les recours souvent décourageants. Cette pétition vise à rassembler leur parole et à obtenir enfin une réponse des responsables.Si vous avez subi ces comportements incivils à répétition et qu'ils vous ont empêchés de jouir paisiblement de votre logement, alors cette pétition est faite pour vous. Si comme comme beaucoup d’habitants de la Montée, vous avez vécu un calvaireVous pouvez signer.
Propriétaires et habitants dans la Montée des Épies
Certains copropriétaires, bien qu’eux-mêmes non locataires, subissent également les nuisances dans leur quotidien. Ainsi, en janvier 2024, un propriétaire de l’immeuble s’est plaint des troubles auprès d’un autre copropriétaire membre du syndicat, révélant que les désagréments concernaient plusieurs foyers, au-delà du seul voisinage immédiat du logement incriminé. Cela témoigne de l’ampleur collective du problème et de son ancienneté. L’impact est donc aussi économique et moral pour les résidents-propriétaires, dont le bien-être et la valeur patrimoniale sont atteints.- Le 17 janvier 2024, soit près de 2 ans après le début des nuisances, le propriétaire du logement d’où proviennent les nuisances a déclaré ne pas être au courant des troubles réguliers produit par son locataire. Cette déclaration a été faite à l'un des autres habitants, propriétaire et membre du syndicat de copropriété de l’immeuble, lequel se plaignait d’une gêne dans sa vie quotidienne.
Cette personne est visiblement gérante d’une entreprise d’immobilier immatriculée dans la Montée des Épies.
- Celui-ci
Propriétaires d'un bien en location dans la Montée des Épies
Il apparaît qu'une partie des propriétaires bailleurs, pourtant alertés par leurs locataires, n’ont ni agi ni pris la mesure des conséquences de leur passivité. Certains ont même tenu des propos hostiles à l’encontre des victimes, remettant en cause leur parole, voire leur santé mentale. Ces comportements révèlent un manquement évident à leur devoir de vigilance, et à leurs obligations envers la copropriété comme envers leurs propres locataires.
Locataires habitants dans l'immeuble d'où provient les faits
Des locataires résidant dans le même immeuble que l’auteur présumé des nuisances se trouvent eux aussi dans une situation de vulnérabilité. Confrontés au vacarme, aux incivilités et à l’agressivité, ils doivent composer avec un climat anxiogène au quotidien. Certains ont tenté de signaler les troubles, mais se sont heurtés à une omerta généralisée. Leur souffrance, bien réelle, reste aujourd’hui largement ignorée par les organes de gestion.
Propriétaires d'un bien en location dans l'immeuble d'où provient les faits
Les propriétaires bailleurs de ce même immeuble, bien que directement concernés par la réputation et l'état de leur bien, ne semblent pas avoir engagé d’action concrète pour faire cesser les nuisances. L’inaction prolongée de leur part, malgré de multiples alertes, engage leur responsabilité morale, voire juridique, à l’égard des autres résidents et de la copropriété dans son ensemble. Une telle inertie interroge sur leurs motivations et sur le rôle qu’ils acceptent, passivement, de jouer dans la persistance des troubles.
NOUS ÉXIGEONS DES EXPLICATIONS
Quand l’inaction devient complicité, et que le silence institutionnel couvre le vacarme organisé
Pourquoi les habitants de la Montée des Épies ont-ils été contraints de subir, du jour au lendemain, un déferlement de nuisances sonores, précisément à partir d’avril 2023 ? Comment expliquer qu’après des mois d’agressions sonores quasi quotidiennes, tout ait subitement changé… dès que le locataire victime, Ugo Mourlevat, a signifié par écrit au syndic qu’il envisageait de se retourner contre lui ?
Faut-il y voir une simple coïncidence ? Non. Il faut avoir l’honnêteté de regarder les faits en face : les nuisances se sont déplacées, mais n’ont pas cessé. La stratégie semble claire — et terriblement bien rodée. Dès qu’une action est engagée, le vacarme se déplace, change de forme, ou se tait temporairement. Le harcèlement sonore devient mobile, insaisissable, presque “intelligent”. Mais personne n’est dupe : le bruit est une arme, et son usage ici semble planifié.
Pourquoi la personne à l’origine de ces nuisances gardait-elle obstinément sa fenêtre ouverte, en toute connaissance de cause, quand tout le voisinage en était accablé ? Pourquoi ne répondait-elle jamais aux multiples injonctions, polies ou exaspérées, lui demandant de cesser ou de fermer sa fenêtre ?
Comment expliquer que cette même personne, capable de se comporter en toute quiétude et discrétion dans des lieux publics comme le parc de la Commanderie, se transforme comme par magie, une fois chez elle, en émettrice constante de sons graves, de cris gutturaux et de gémissements nocturnes ? Quelle logique peut justifier ce comportement si ce n’est une volonté manifeste de nuire, ciblée et répétée ?
Une quinzaine de témoins peuvent attester de ces comportements. Et pourtant, rien ne change. Aucun représentant de la copropriété, du voisinage, ni autorité locale ne semble disposé à nommer les faits pour ce qu’ils sont : un harcèlement psychologique sonore, organisé et protégé par l’inaction.
Assez d’atermoiements : les habitants de la Montée des Épies n’exigent plus des explications : ils exigent des comptes.
Pourquoi les habitants de la Montée des Épies ont-ils été forcés de subir ces immondes bruits du jour au lendemain à partir du ? avril précisément?Comment se fait-il qu’elle s’est faite beaucoup plus discrète du jour au lendemain?Étrangement, c’est précisément à partir du 31 juin 2023, date à laquelle où moi, Ugo MOURLEVAT, j’ai insinué que j’allais potentiellement me retourner contre le(s) membre(s) du syndic de copropriété qui visiblement couvraient ces agissements qu’elle s’est fait beaucoup plus discrète du côté. Maintenant elle produit ses immondes bruits du côté de la cours intérieure de l’immeuble.
Pourquoi la personne à l’origine de ces incessantes nuisances a gardé sa fenêtre ouverte sachant très bien que tout le monde entendait ?
Pourquoi celle-ci ne répondait jamais aux personnes qui lui demandaient de cesser ou simplement de fermer sa fenêtre?
Comment se fait-il que cette personne ne produit pas ces immondes bruits lorsqu’elle est dehors?Une bonne quinzaine de personnes peut attester que cette même personne peut se tenir des heures durant de manière silencieuse, dans le parc de la place de la commanderie pour ensuite regagner son domicile pour ouvrir sa fenêtre, et d’un moment à l’autre faire subir à tout le monde ses vocalises d’outre-tombe. Par exemple, cette même personne pouvait produire ces sons de 21H00 à 4H00 du matin, depuis sa fenêtre, quasi tous les soirs durant le printemps et l’été 2022, puis le lendemain se promener avec quiétude ou rester assise dans les alentours du quartier comme si de rien était.
DE LOURDS PRÉJUDICES POUR CERTAINS
Quand le vacarme devient un calvaire, et l’inaction une complicité
Pendant plus de deux ans, certains habitants de la Montée des Épies ont vécu un véritable supplice sonore, psychologique et social. Des nuisances quotidiennes, nocturnes et systématiques ont plongé plusieurs personnes dans un état d’épuisement chronique, d’angoisse, voire de dépression. Des projets professionnels mis en pause, des relations sociales brisées, des nuits entières sans sommeil, des alertes répétées laissées sans réponse... Tout cela pendant que les véritables responsables de cette situation fermaient les yeux — ou pire, couvraient activement ces agissements.
Il ne s’agit plus de simples nuisances sonores : il s’agit de préjudices graves, répétés, documentés, dont les répercussions ont durablement affecté la vie de ceux qui ont eu le malheur d’habiter à proximité de la locataire concernée. Cette inertie prolongée du syndic et des propriétaires, malgré les innombrables alertes, n’est plus une négligence : c’est une complicité silencieuse, mais bien réelle.
En raison des nombreuses nuisances sonores et de leur répétition (2 à 3 fois par minutes) nuits et jours et ce sur une longue période, plusieurs d’entre nous ont subi des préjudices indéniables.
Qu'ils soient d'ordre émotionnels ou professionnels, pour ceux qui travaillent à domicile. Ces nuisances sonores et autres incidents survenus de manière quasi-systématique, parfois à une fréquence assez élevée, ont clairement nuit à notre possibilité de jouir de la tranquillité dans notre logement et ce depuis maintenant deux ans. Ces incivilités régulières ont perturbé nos vies quotidiennes. Pour certains habitants de la Montée des Épies, ces faits récurrents ont eu un impact indéniable. Répandant une ambiance anxiogène affectant, notre sommeil, notre vie familiale, notre travail, notre santé et plus simplement de notre bien-être général au sein de nos logements respectifs.
NOUS DEMANDONS RÉPARATIONS
Trop, c’est trop : l’impunité a assez duré
Nous ne quémandons pas de la compréhension, nous exigeons justice. Après des années de nuisances sonores répétées, d'atteintes à la tranquillité publique et de mépris affiché envers les demandes les plus élémentaires, il est impensable que les responsables — locataire, propriétaire, syndic — continuent à échapper à toute conséquence.
Le préjudice est collectif, mais aussi personnel : fatigue extrême, isolement social, dégradation de la santé mentale, pertes économiques et artistiques, sentiment d’insécurité permanent… Il est temps que les dommages soient reconnus, évalués, et surtout, indemnisés.
Car derrière les murs de cet immeuble, il y a des vies qu’on a abîmées. Et il n’est pas question de tourner la page sans qu’il y ait réparation, responsabilisation et changement structurel.
Pourquoi les habitants de la Montée des Épies ont-ils été forcés de subir ces immondes bruits du jour au lendemain à partir du ? avril précisément?Comment se fait-il qu’elle s’est faite beaucoup plus discrète du jour au lendemain?Étrangement, c’est précisément à partir du 31 juin 2023, date à laquelle où moi, Ugo MOURLEVAT, j’ai insinué que j’allais potentiellement me retourner contre le(s) membre(s) du syndic de copropriété qui visiblement couvraient ces agissements qu’elle s’est fait beaucoup plus discrète du côté. Maintenant elle produit ses immondes bruits du côté de la cours intérieure de l’immeuble.
Pourquoi la personne à l’origine de ces incessantes nuisances a gardé sa fenêtre ouverte sachant très bien que tout le monde entendait ?
Pourquoi celle-ci ne répondait jamais aux personnes qui lui demandaient de cesser ou simplement de fermer sa fenêtre?
Comment se fait-il que cette personne ne produit pas ces immondes bruits lorsqu’elle est dehors?Une bonne quinzaine de personnes peut attester que cette même personne peut se tenir des heures durant de manière silencieuse, dans le parc de la place de la commanderie pour ensuite regagner son domicile pour ouvrir sa fenêtre, et d’un moment à l’autre faire subir à tout le monde ses vocalises d’outre-tombe. Par exemple, cette même personne pouvait produire ces sons de 21H00 à 4H00 du matin, depuis sa fenêtre, quasi tous les soirs durant le printemps et l’été 2022, puis le lendemain se promener avec quiétude ou rester assise dans les alentours du quartier comme si de rien était.
LE BUT DE LA PÉTITION
Faire du bruit… pour qu’on nous laisse enfin en paix
Cette pétition vise à briser le silence complice qui entoure cette affaire depuis bien trop longtemps. Elle a pour but de rassembler les voix des riverains, habitants, voisins et soutiens qui, tous, ont été témoins ou victimes des nuisances gravissimes et de l’inertie des autorités compétentes. En signant, vous participez à une démarche collective pour exiger des réponses claires, des sanctions contre les responsables, et surtout, des mesures concrètes pour rétablir le calme, la dignité et la justice dans notre quartier.
Ce n’est pas seulement une pétition, c’est un acte de résistance citoyenne, une manière de dire "ça suffit" et de faire savoir, haut et fort, que la Montée des Épies ne sera plus le théâtre de l’indifférence organisée.
Pourquoi les habitants de la Montée des Épies ont-ils été forcés de subir ces immondes bruits du jour au lendemain à partir du ? avril précisément?Comment se fait-il qu’elle s’est faite beaucoup plus discrète du jour au lendemain?Étrangement, c’est précisément à partir du 31 juin 2023, date à laquelle où moi, Ugo MOURLEVAT, j’ai insinué que j’allais potentiellement me retourner contre le(s) membre(s) du syndic de copropriété qui visiblement couvraient ces agissements qu’elle s’est fait beaucoup plus discrète du côté. Maintenant elle produit ses immondes bruits du côté de la cours intérieure de l’immeuble.
Pourquoi la personne à l’origine de ces incessantes nuisances a gardé sa fenêtre ouverte sachant très bien que tout le monde entendait ?
Pourquoi celle-ci ne répondait jamais aux personnes qui lui demandaient de cesser ou simplement de fermer sa fenêtre?
Comment se fait-il que cette personne ne produit pas ces immondes bruits lorsqu’elle est dehors?Une bonne quinzaine de personnes peut attester que cette même personne peut se tenir des heures durant de manière silencieuse, dans le parc de la place de la commanderie pour ensuite regagner son domicile pour ouvrir sa fenêtre, et d’un moment à l’autre faire subir à tout le monde ses vocalises d’outre-tombe. Par exemple, cette même personne pouvait produire ces sons de 21H00 à 4H00 du matin, depuis sa fenêtre, quasi tous les soirs durant le printemps et l’été 2022, puis le lendemain se promener avec quiétude ou rester assise dans les alentours du quartier comme si de rien était.
Pour + de tranquillité + de propreté et vers
+ de respect pour la Vie en Collectivité
ET POUR NE PLUS SUBIR CE CALVAIRE

À votre tour!
Vous aussi
Faîtes-vous entendre!
Ne vous habituez pas à cette situation invivable
3 faits inadmissibles entravent la tranquillité des habitants de la montée depuis avril 2022 et celle des habitants d'un immeuble en particulier. Lesquelles sont énumérées ci-dessous.
Tapages nocturnes et diurnesNuisances Sonores
Depuis la mi-avril 2022, une personne domiciliée dans un immeuble du début de la Montée des Épies, fait subir à tout le voisinage ses bruits de raclement de gorge, régurgitations, crachats. Ceux-ci ayant lieu, de manière systématique et récurrente jour et nuit surviennent parfois jusqu’à 2 ou 3 fois par minutes selon la période.
Jets de déchets "sauvage"Dégradation de la Voie Publique
Cette même personne jette régulièrement des seaux entiers de salive du haut de sa fenêtre dont le contenu de plusieurs litres coule jusqu’en bas de la voie publique jusqu'à atteindre la Saint-Georges. Laisser se produire ces agissements est absolument intolérable, surtout dans une zone classée comme patrimoine historique.
Déni de la part duPrésident du syndic de copropriété
Malgré les nombreuses sollicitations des habitants de l’immeuble, le propriétaire du logement de la personne responsable des incivilités et le président du syndic de copropriété n’ont rien entrepris de concret à ce jour afin d’améliorer la situation et celle-ci perdure encore aujourd’hui.
Quelques exemples
des nuisances sonores
que nous subissons depuis mi-avril 2022


Aussi la fenêtre de de cette personne reste toujours ouverte en grand, avec le téléviseur qui tourne plein volume toutes les nuits. La police est intervenue plusieurs fois. Lorsque celle-ci se rend sur place cette personne cesse les nuisances. Ces bruits portent atteinte à la tranquillité de toute la Montée des Épies.
Nul locataire n'est censé ignorer les règles de bon voisinage. Chacun est tenu d’user paisiblement de son logement. À défaut, le locataire peut se voir délivrer un congé par son propriétaire pour motif légitime et sérieux ou voir son bail résilié par le juge (articles 4 et 6-1 de la loi du 6 juillet 1989). Il est nécessaire de réunir un maximum de pièces.

Jets de déchets "sauvage"
Dégradation de la Voie Publique
Cette personne jette régulièrement des seaux entiers de salive par la fenêtre dont le contenu coule jusqu’en bas de la voie publique. Laisser se produire ces agissements est absolument intolérable, surtout dans une zone classée comme patrimoine historique. Nous tenons à rappeler qu'il est strictement interdit de jeter ou d'abandonner ses déchets sur la voie publique ou privée.
Le jet de déchets dit "sauvages" est puni d'une amende. Tout jet de déchets (mégots de cigarette, restes d'aliments, seaux de salive, etc.) par les fenêtres est strictement interdit. Cet acte caractérise le délit de mise en danger délibéré d'autrui, lequel est puni d'emprisonnement et d'une amende.
(article 222-16 du Code pénal)
dans une zone classée UNESCO
Depuis 1998, cette rue fait partie d'une zone inscrite sur la liste du patrimoine mondial par l'UNESCO. Notre chère montée est donc officiellement reconnue et protégée comme faisant partie intégrante du patrimoine universel. Il en va de la responsabilité de chaque citoyen de faire de son mieux afin de préserver le charme typique d'une des rues les plus photographiées de Lyon. Le respect de vie en collectivité et la tranquillité des riverains sont une chose, la préservation de notre patrimoine en est une autre...



Déni de la part du propriétaire et du
Président du syndic de copropriété
Malgré les nombreuses sollicitations des habitants de l’immeuble, le propriétaire du logement de la personne responsable des incivilités et le président du syndic de copropriété n’ont rien entrepris de concret à ce jour afin d’améliorer la situation et celle-ci perdure encore aujourd’hui.
Or ces derniers sont légalement responsables. Et leur inaction respective a largement contribué à laisser la situation s'envenimer et ce au détriment des habitants de la montée ainsi que de leur tranquillité. En laissant cette personne agir en toute impunité, ils ont fait perdurer une ambiance anxiogène au sein de l'immeuble et empêcher certains résidents de la montée de jouir décemment de leur logement. Ceux-ci sont forcés de rester dans le désarroi le plus total.
(article 222-16 du Code pénal)
AGIR EN 3 ÉTAPES
Cette page a pour but de simplifier les démarches à accomplir pour faire cesser ces nuisances et de faire valoir vos droits dans le cas où vous avez subi des préjudices.
blablablablablablabla
Cette page a pour unique but de faciliter la centralisation de témoignages ou de tout autres éléments pouvant aider au bon déroulement d'une action collective.
Tous les fichiers réceptionnés via la présente page ou par mail seront préalablement étudiées et susceptibles d'être ajoutées au dossier porté par
MaÎtre Geoffroy GOIRAND
Avocat spécialisé en droit public
pour clients et personnes
physiques et morales
Résident du Quartier Saint-Georges
Ugo MOURLEVAT
Résident de la montée des Épies
Signataire de la pétition
Administrateur de cette page
Benjamin VITTI
Résident de la montée des Épies
Signataire de la pétition
La CLEF
Association de défense des locataires sur leurs droits et les accompagne dans le cadre d'un litige avec leur bailleur.
Pour toutes précisions nous restons joignable par mail ou par téléphone
Nous privilégions l'upload numérique car c'est le moyen le plus discret. Afin de faire cesser ces incivilités une bonne fois pour toutes.
Pour + de tranquillité + de propreté et vers
+ de respect pour la Vie en Collectivité
ET POUR NE PLUS SUBIR CE CALVAIRE
LA SOLUTION
Une action collective
Si votre propriétaire ne respecte pas les règles de décence prévues par le décret du 30 janvier 2002, qu'il vous loue un logement que vous n'avez pas assumé vos obligations de réparation, aussi je suis en en droit de considérer que vous n'avez pas répondu à vos obligations d'assurer ma sécurité physique et ma santé. Voilà pourquoi je suis au regret de vous annoncer que j'ai décidé de déposer une plainte pour mise en danger d'autrui. Remettre en cause la manière de gérer l'application des règles de base de la vie en collectivité du syndicat de copropriété de l'immeuble d'où émanent ces réguliers agissements inciviles...



Remplir l'attestation
Le formulaire Cerfa n° 11527*03 communément utilisé comme base règlementaire de référence nécéssaire à tous témoignages.



Envoyer vos fichiers
Vous pouvez joindre des sons, photos, vidéos




Signer la pétition
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La procédure
En quelques minutes
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Remplir l'attestation - Le formulaire Cerfa n° 11527*03 communément utilisé comme base règlementaire de référence nécessaire à tous témoignages.
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Signer la pétition - disponible ici
Par téléphone et/ou courrier - au



ACTION COLLECTIVE
Faites valoir vos droits
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Pétition en ligne
"Si votre propriétaire ne respecte pas les règles de décence prévues par le décret du 30 janvier 2002, qu’il vous loue un logement que vous n’avez pas assumé vos obligations de réparation, aussi je suis en en droit de considérer que vous n’avez pas répondu à vos obligations d’assurer ma sécurité physique et ma santé. Voilà pourquoi je suis au regret de vous annoncer que j’ai décidé de déposer une plainte pour mise en danger d’autrui."
Commissariat de Police de Lyon 5ème arrondissement
15 rue des Anges
69005 Lyon
Thomas RUDIGOZ
Député de la première circonscription du Rhône
Conseiller métropolitain de Lyon
Nicolas Jacquet
Procureur de la République
Fabienne BUCCIO
Préfète de la région Auvergne-Rhône-Alpes
Marielle PERRIN
Conseillère Municipale
Conseillère déléguée du 5ème arrondissement
Mobilités, Voirie, Transition écologique et énergetique
Philippe CARRY
8ème Adjoint à la Mairie du 5ème arrondissement
Patrimoines, Nature en ville et Biodiversité
Pierre GAIDOZ
4ème Adjoint à la Mairie du 5ème arrondissement
Éducation, Jeunesse, Déchets et Propreté
Nadine GEORGEL
Conseillère municipale
Maire du 5ème arrondissement
Finances, Sécurité, Relations avec les usagers, Relations avec la Métropole
Grégory DOUCET
Maire
Conseiller du 3ème arrondissement
Stéphanie MICHEL
DRSEP - Service Action et Innovation Sociale
Métropole de Lyon
Geoffroy GOIRAND
Avocat spécialisé en droit public
pour clients et personnes
physiques et morales
La CLEF
Association de défense des locataires sur leurs droits et les accompagne dans le cadre
d'un litige avec leur bailleur.